Le chou de Bruxelles autrement

Depuis quelques jours j’ai l’impression d’habiter dans les Vosges avec toute cette neige (qui tient je précise). N°2 qui a absoooooolument voulu aller à l’école mardi (alors que d’habitude on est très loin de cet investissement personnel !!), n’en est revenue que jeudi soir, faute de pouvoir aller la chercher en voiture ou en transport plus tôt. Je vous rassure elle était hébergée chez des copains, que je ne connaissais pas et encore moins les parents…à moi les bad trips nocturnes… J’ai donc passé quelques heures l’oreille vissée sur le moindre bulletin météo pour imaginer quand je pourrais récupérer ma progéniture telle une mère poule que je ne suis pas d’ailleurs. Je me suis initiée, par la même occasion, à ce vocabulaire, si particulier, et tous les doux euphémismes utilisés par les météorologues. Ainsi on ne dit pas le ciel on dit le plafond quand il y a des nuages, à mort la poésie ! Quand tu es météorologue t’es concret !! Parfois se cachent tout de même quelques subtilités dans les bulletins météo. Un peu comme le vocabulaire immobilier, il faut savoir interpréter, kitchenette = petite cuisine, et bien quelques apparitions de soleil = il fera beau toutes les 10 minutes, donc pas terrible ! Et pendant l’absence de N°2, on en a profité pour manger autre chose que des pâtes et du concombre à la crème. Dans mes récentes trouvailles, amusantes, avec des légumes et à grignoter, se trouvent ces petits choux de bruxelles, enrobés d’une mini tranche de poitrine fumée, badigeonnés de sirop d’érable et cuits au four. Peut se grignoter ou être servi en accompagnement d’un rôti ou je ne sais quoi, mais perso, je préfère les manger avec les doigts 😉